Les Colonies d'Enkidiev
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Les Colonies d'Enkidiev

Un forum de Jeu de Rôle inspiré de la série «Les Chevaliers d'Émeraude», dans un contexte où l'Empire a conquis la moitié du territoire des Enkievs mais où tout peut encore changer.
 
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 Rosalinde

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AuteurMessage
Rosalinde
Chevalier d'Enkidiev
Rosalinde


Date d'inscription : 20/12/2013

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MessageSujet: Rosalinde   Rosalinde Icon_minitimeVen 20 Déc - 15:37

Rosalinde Edmund d'Opale

« Petite citation »

Prénoms
Âge
Sexe
Race

Cheveux
Yeux
Taille

Orientation

Pouvoirs





Armes



Origine
Résidence

Fonction

Rosalinde Edmund
23 ans
Féminin
Humaine

Rouge
Vert d'eau clair
Moyenne

Hétérosexuelle, libre

Empathie
Télépathie
Sixième sens
Guérison
Contrôle du feu

Épée
Arc et flèche
Dague courte

Opale
Royaumes libres

Chevalier d'Enkidiev

LE PHYSIQUE
Rosalinde Edmund d’Opale est une belle jeune femme dans la fleur de l’âge. Svelte, de taille moyenne, elle se sent tout de même empotée avec ses longs cheveux d’un rouge flamboyant qu’elle n’essaie jamais de démêler, au risque de se les arracher. Elle les attache généralement lâchement, remettant toujours à plus tard la fastidieuse tâche de les peigner. Ainsi, ils cachent légèrement son visage ovale à la peau de porcelaine, peau rougissant à la moindre humeur, ainsi qu’un merveilleux sourire qui éclaire toute sa physionomie. Quand ses lèvres rosées dévoilent une rangée de perles blanches, la demoiselle s’illumine, tout simplement. Elle devient rayonnante, comme ses yeux d’un vert clair d’eau qui expriment facilement mille émotions, à son plus grand dam. Sinon, que dire de cette jeune dame, outre qu’elle préfère l’accoutrement des garçons, lui laissant plus de liberté pour ses amples mouvements au combat, que ses ongles sont souvent rongés jusqu’à la peau, même si ce n’est pas très féminin, qu’elle cache toujours une courte dague dans sa botte droite au cas où elle perdrait son épée, comme le lui a appris son feu maître? Inutile d’en dire davantage.
LA PSYCHOLOGIE
Dès son plus jeune âge, Rosalinde a eu la prétention de se vouloir différente. Elle a toujours voulu qu’on la remarque. C’est pourquoi elle n’hésitait pas à faire rire ses parents, à jouer des tours à ses frères et sœurs, à disparaître pour qu’on la cherche. Le but était simplement que les gens se souviennent qu’elle existe puisque, avant-dernière-née d’une famille de huit enfants, elle n’était pas celle qui recevait le plus d’attention… Toutefois, cela ne l’a jamais empêché d’avoir le cœur sur la main, de vouloir aider. Combien de fois a-t-elle ramené des animaux blessés à la maison pour que sa mère les répare? Au fil du temps, la petite fille a grandi et a pris le temps de soigner ces petits êtres tristes, brisés et abandonnés, grâce à beaucoup de patience et une bonne mémoire pour savoir comment procéder. Et avec le temps et son apprentissage auprès du magicien, les animaux sont devenus des personnes. Elle prend toujours le temps qu’il faut pour soigner un être, mais en dehors de l’infirmerie, Rosalinde est une jeune femme impatiente qui déteste attendre. Elle préfère mille fois être dans l’action plutôt que de patienter pour elle-ne-sait-quelle-raison. Elle a par ailleurs du mal à se concentrer, sauf lorsqu’il s’agit de la botanique ou des soins ou du combat. Légèrement perfectionniste, elle aime apprendre, mais elle n’aime pas se faire pointer ses défauts ou ses erreurs. Il lui est toujours moins douloureux de s’en rendre compte par elle-même et de corriger le tir avant que quelqu’un ne lui passe une remarque. Elle devient alors plus sec, plus tranchante.
LES POUVOIRS
Au fil des ans, Rosalinde a appris à maîtriser, pour son propre bien, des pouvoirs comme l’empathie, la télépathie et le sixième sens. Toutefois, bien avant l’apprentissage de ces pouvoirs, la demoiselle a dû explorer un pouvoir qui a justifié son apprentissage auprès du magicien d’Émeraude : la guérison. Ainsi, enfant, elle parvenait à se guérir elle-même de petites blessures, comme les coupures, les brûlures ou les piqûres d’abeilles, au plus grand étonnement de ses parents. Avec le temps, et beaucoup de pratique, elle est parvenue à arrêter des saignements plus importants ou à réparer des os, au risque la première fois de perdre connaissance. Ainsi, elle apprit rapidement que, plus importante était la blessure, plus elle devait contrôler l’énergie qu’elle y mettait. Pour l’instant, avec les folies de la guerre, elle n’hésite pas à l’utiliser pour soigner les maladies bénignes, mais elle hésite parfois pour les cas plus grave, ayant peur de ne pas se contrôler. Par ailleurs, il y a peu, Rosalinde a découvert un autre pouvoir qui peut se révéler particulièrement utile : le contrôle du feu. Elle est parvenue à créer quelques flammes enfermées dans un bocal pour réchauffer quelques personnes. Par la suite, elle s’est amusée à faire grandir ces flammes au creux de ses mains. Elle leur donne des formes pour amuser les enfants. Toutefois, cela lui demande temps et énergie. Avec beaucoup de pratique, elle espère pouvoir enflammer ses flèches en les tirant, même à distance. Elle ne pourra toutefois pas mettre le feu aux pierres ou à la terre, mais elle n’hésitera pas à lancer des boules de feu ou à mettre à feu des arbres, de la paille, des gens et leurs vêtements, si la guerre l’y oblige. Mais encore une fois, cela prendra du temps avant qu’elle ne puisse réaliser tout ce que son esprit imagine et espère…
L'HISTOIRE
Il était une fois… J’aimerais pouvoir dire que mes parents s’aimèrent depuis le tout premier regard, qu’ils se marièrent par amour et vécurent heureux, entourés de leurs doux enfants… Mais il en était tout autrement. Ils se connaissaient depuis leur plus tendre enfance. Le père de mon père venait aider celui de ma mère à l’auberge, que ce soit pour rentrer le bois, déplacer des meubles, réparer les marches de l’escalier ou autre… Et pendant que les adultes travaillaient vaillamment, ma mère emmenait mon père au grenier pour explorer les malles ou dans les bois pour pourchasser les oiseaux ou cueillir des fleurs. Quand mon père fut adolescent, c’est lui qui vint à l’auberge pour les menus travaux, contre rémunération. Toutefois, lui, ce qu’il voulait, c’était travailler la terre. Il voulait vivre de la terre. Il rêvait d’une petite maison en bois, avec une cheminée de pierre, et de quelques acres où cultiver céréales, avec vaches, poules, canards et cochons.

Pourquoi mon père et ma mère se marièrent? L’amour n’était pas en cause. Il s’agissait davantage de bien s’établir dans la vie, je crois. Ma mère n’avait pas de prétendant. Mon père n’était pas le plus beau des hommes. Ils se connaissaient. Et leurs parents les pressaient. À 22 ans, mon père avait amassé assez d’argent pour acheter quelques acres. Il demanda à ma mère de l’épouser, sans lui cacher que les premières années seraient faites de misère, mais qu’il aimait ce qu’il faisait. Il lui promit d’être gentil, d’être attentionné, de travailler fort nuit et jour pour lui offrir une vie convenable. Et elle dit oui. Ainsi, leur amour ne fut pas le fruit d’un regard, mais le travail de toute une vie. Au moment où je quittai le nid familial, j’avais alors huit ans, je puis affirmer qu’ils s’aimaient, parce qu’ils se connaissaient et se respectaient. Ils n’avaient pas besoin d’exprimer leur amour, mais je pouvais le voir lorsque mon père ramenait une gerbe de fleurs à ma mère au printemps ou lorsque ma mère prenait la peine de lui rapporter des nouvelles de ses parents à lui.

Pour ma part, je suis l‘avant-dernière-née de la famille, le septième enfant de ce couple à la fois étrange et charmant. Avant moi, il y eut dans l’ordre : George, Edmund, Catherine, Thomas, Erin et Sigmund, ce dernier étant grandement handicapé. Après moi, il n’y eu que Flore, une petite fille adorable. Ainsi, dans cette grande famille, même avec mes cheveux d’un rouge flamboyant, ma bouille adorable, mes yeux vert d’eau clair et mon sourire lumineux, je n’étais qu’une enfant comme les autres. Sigmund demandait toujours plus d’attention, plus de soins. Flore étant la plus jeune bénéficiait d’un statut spécial. Les plus vieux ayant aidé à élever les plus jeunes, ils ne voulaient pas nécessairement rester plus longtemps que nécessaire à la maison. George et Edmund se marièrent donc rapidement, le premier à une fille des environs et le deuxième à une jolie marchande d’un royaume voisin. George hérita de quelques acres de terre de mon père alors qu’Edmund alla rejoindre sa charmante épouse dans sa ville natale. Il fut pris en charge par le père de la demoiselle qui lui enseigna comment faire prospérer leur magasin général. Ainsi, George resta près de la famille et Edmund disparut pratiquement de nos vies. Il envoyait des lettres à maman lors des évènements importants : la maladie de sa belle-mère, la mort de son beau-père, la naissance de son premier petit garçon.

Catherine partit rapidement de la maison elle aussi. Thomas et Erin, pour leur part, n’était séparée que par une année, et ils étaient pratiquement inséparables. Alors, souvent, j’étais seule. Pour attirer l’attention de ma mère, je l’aidais à faire la cuisine, même si je faisais plus souvent plus de mal que de bien, lui donnant bien du trouble. Pour forcer l’admiration de mon père, je me levais aux aurores comme lui, je me glissais dans sa charrette et j’allais l’aider aux champs. Je faisais d’une pierre deux coups puisque, par la même occasion, ma mère s’inquiétait de mon absence. Elle était toujours heureuse de me retrouver le soir, même si elle finissait toujours par me gronder. Qu’à cela ne tienne, je tenais à ces petits moments où j’avais l’impression d’exister pour les miens, pour ces gens que j’aimais. Toutefois, je n’eus jamais autant d’attention d’eux que lorsque mon pouvoir de guérison se manifesta. J’avais alors six ans. Je jouais avec Sigmund dans la cuisine, sous l’œil de notre mère. Je ne sais comment, mais Sigmund réussit à attraper un couteau et à se couper sérieusement la main. Il criait « Sang! Sang » et ma mère paniquait. Je me souviens avoir attrapé la main de Sigmund dans la main en murmurant que ce n’était rien. Le sang était toujours là, mais quand ma mère attrapa la main de mon frère pour la nettoyer et arrêter le saignement, elle se rendit compte qu’il n’y avait pas de blessure. S’il n’y avait pas eu les traces de sang, elle n’aurait jamais su que Sigmund s’était coupé. Elle me regarda étrangement. Et dès ce premier incident, ma mère me regarda toujours étrangement. Mon père aussi, lorsque ma mère lui en parla, se mit à me regarder étrangement. Les plus vieux en discutèrent. Ainsi, George et sa femme, Jolène, furent mis au courant de l’incident.

Ma tante Jolène fut la première à parler de la possibilité de m’envoyer à Émeraude. J’étais assise par terre avec Sigmund, en train de jouer avec des blocs de bois, quand Jolène aborda le sujet, mentionnant qu’ils recrutaient encore des enfants à Émeraude. Je me souviens du poing de mon père, s’abattant sur la table, de son « non » retentissant. Sigmund s’est mis à pleurer. Ma mère nous a amené à l’extérieur. Je laissai Sigmund dans le jardin, alors que je m’approchais de la fenêtre. J’entendis parler des chevaliers magiques qui protégeaient le continent. J’entendis parler pour la première fois de la guerre dont nous étions plus ou moins épargnés, même si cela ne durerait pas longtemps.
Il fallut deux ans et plusieurs autres incidents du genre avant que je ne demande à tante Jolène de m’amener à Émeraude. Elle le fit à l’encontre de la décision de mes parents. En chemin, dans la charrette, elle m’expliqua que mes parents souhaitaient simplement me protéger de la guerre, mais que si je voulais y participer et si je voulais devenir chevalier, c’était ma décision. Jolène savait que j’étais une enfant, mais elle savait aussi que je pouvais prendre mes propres décisions. Je ne sais pas pourquoi, à 8 ans, je voulais devenir chevalier. Je voulais probablement juste un peu plus d’attention ou prouver à mes parents que j’étais capable d’être chevalier, que je pouvais les rendre fière. À 8 ans, je ne comprenais pas pourquoi ils ne voulaient pas que je sois chevalier…

Ainsi, j’intégrai l’ordre des chevaliers. Je fus formé auprès du magicien, puis devint écuyer. Et je devins chevalier au moment de la grande guerre, celle que nous avons perdu. Depuis, l’ordre se reconstruit lentement. Le monde se reconstruit lentement. Et je l’aide du mieux que je peux, en aidant nos gens à guérir, en patrouillant aux frontières, en reconstruisant les maisons. C’est être chevalier. Et, chaque fois que j’arrive dans un nouveau dispensaire ou que je vois des paysans venir à nous pour trouver refuge, je cherche dans leurs yeux des traces de ma famille, même si tous font maintenant partie de ma famille, puisque je suis chevalier d’Enkidiev.
SES AMBITIONS
Les ambitions de Rosalinde sont nombreuses. Comme ses frères et sœurs d’arme, elle souhaite reprendre les royaumes conquis par l’Empire, parce que ces terres appartiennent aux siens, à ses ancêtres. Ces terres sont les leurs et ils ne méritaient certainement pas d’en être expulsés avec autant de violence. Elle souhaite également découvrir ce qui est arrivé à ses parents, ses frères, ses sœurs, ses tantes, afin d’arrêter de se faire des scénarios et d’imaginer le pire. Elle préfère largement savoir, même si c’est pour apprendre leur mort. Elle pourrait alors prier pour leurs âmes et poursuivre sa quête. Rosalinde aspire également à maîtriser l’art ancestral de la botanique, afin de mêler ce savoir à son pouvoir de guérison, sachant qu’elle pourrait alors aider davantage de personnes à guérir sans pour autant épuiser ses propres réserves d’énergie.

Derrière le personnage, il y a... moi!
Âge : 24 ans.
Autres comptes : Aucun.
Présence sur le forum : Variable.
Découverte du forum : grâce à Murdoch.

Fiche de Amylith sur Libre Graph
Fiche de ARROGANT MISCHIEF sur Never Utopia
Fiche modifiée par Rosalinde


Dernière édition par Rosalinde le Mer 15 Jan - 23:13, édité 17 fois
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Date d'inscription : 20/12/2013

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MessageSujet: Re: Rosalinde   Rosalinde Icon_minitimeDim 22 Déc - 14:35

Les relations

L'Ordre des chevaliers d'Enkidiev

« Petite citation »

Murdoch de Rubis

Titre, type de relation. Description de la relation.
Killian de Fal

Titre, type de relation. Description de la relation.
Nom Prénom

Titre, type de relation. Description de la relation.


Dernière édition par Rosalinde le Lun 30 Déc - 1:12, édité 2 fois
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Date d'inscription : 20/12/2013

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MessageSujet: Re: Rosalinde   Rosalinde Icon_minitimeDim 22 Déc - 14:36

Les sauts

Saut X

« Petite citation »

Résumé du saut - titre
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Dernière édition par Rosalinde le Dim 29 Déc - 19:55, édité 1 fois
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Date d'inscription : 20/12/2013

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MessageSujet: Re: Rosalinde   Rosalinde Icon_minitimeMer 15 Jan - 23:13

Terminé! (: Enfin!
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MessageSujet: Re: Rosalinde   Rosalinde Icon_minitime

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