Iris - Quand l'angélique devient naïveté [Finii !]

PHYSIQUE

Personne ne pourrait croire que la petite Iris était une vraie combattante. Quand on la regarde, on dirait plutôt une petite fille prête à se cacher dans un coin au premier signe de danger. Elle semble tellement fragile. Certes, elle est Pardusse. On peut voir une jolie queue toute poilue derrière elle ainsi que deux oreilles en forme de chat. Mais c’est bien cela le problème. Si elle n’aurait pas cette apparence, peut-être qu’elle semblerait plus forte et moins angélique. Mais pour l’instant, elle ressemble plus à un chaton qu’à une combattante. Ses cheveux sont brun foncé comme la fourrure qu’elle a sur elle.  Ce qu’on voit le plus chez elle, ce sont ses yeux. Ils n’étaient pas de la même couleur. Le droit était d’un bleu océan. Alors que l’autre était plus dans un bleu-gris. Comme si la couleur de l’océan avait touché juste un œil. Quand le soleil rentrait dans mes yeux c’était de toute beauté. Il avait un peu de jaune qui venait s’installer. Dans le gris, cela paraissait moins, mais dans le bleue c’était assez flagrant.

Si on continue au niveau de mon visage, on peut voir ce sourire qui ne quitte jamais ses lèvres. On a rarement vu une personne sourire aussi souvent qu’elle. Même dans les moments les plus durs, elle a un sourire. Rarement, il est malsain par contre. Ses yeux pétillent de joie sur tout. C’est presque déconcertant à voir. Ses gestes quand elle marche sont fluide. C’est son côté félin qui la rend si menue et délicate dans ses mouvements. Elle ne  porte pas de soulier. Ceux-ci font beaucoup plus de bruit que ses pieds qui sont fait pour marcher dans la nature. Ses vêtements sont rarement serré. Le seul temps où on la voyait dans une tenue plus serrer c’est quand elle portait une robe faite pour une grande occasion. Donc très très rarement… Sinon, les vêtements étaient ambles et elle pouvait bouger comme bon lui semble.

MENTALITÉ

Comment décrire la personne que je suis. Commençons par ce que les gens voient. L’impression que je donne quand je parle et quand je pense tout haut ou que je donne mon opinion. Ça vous donnera une petite idée de qui je peux être. Pour commencer, les gens me voient toujours souriante. Je souris pratiquement tout le temps. J’essaie d’avoir l’aire heureuse. Je me dis que je semble heureuse, alors je le serai. C’est aussi simple que cela. Les gens disent que je ne vois que le bon côté des choses. Que je pense tellement juste aux bons que je ne pourrai même pas voir le danger devant moi. Je dois leur donner un peu raison par contre. Quelque fois, je pense vouloir bien faire en étant gentille et attentionner et finalement, je peux rapidement me ramasser dans une mauvaise posture. Pour continuer le tout, il se pourrait que je pose beaucoup de question. Comme pour savoir tout ce qui se passe. Je ne crois pas du tout ceux qui disent cela. Franchement, j’essaie simplement d’être au courant de ce qui se passe près de moi. Je ne vois pas en quoi cela fait de moi une trop grande curieuse. Mais pour bien faire, les gens disent aussi que j’ai un grand cœur et que je donne aux autres. Il est vrai que je peux facilement me passer à manger si une personne que je vois en a besoin plus que moi. Il faut faire quand même attention à cela, je ne suis pas idiote pour autant. Légèrement naïve de croire que tout est rose, mais si une personne ose me jouer dans le dos, elle le regrettera.

Car, l’image que les gens ont de moi n’est pas totalement vraie. Voyez-vous, en dedans, je suis une vraie combattante. Je ne lâche jamais le morceau et je veux à tout prix montrer aux autres que je suis  capable. Le fait de penser tout cute et mignon est simplement là pour m’aider à garder le moral un peu. J’ai un fort caractère et même si j’ai l’aire naïve, on ne peut pas me faire croire n’importe quoi. Je réfléchie beaucoup plus que vous le pensez. Chaque fois que je dis ou que je fais quelque chose c’est penser bien avant. Je réponds rapidement aux gens. Derrière toutes phrases gentilles se cachent souvent des mots plus crus. Je serai rarement fâcher, car je n’aime pas montrer mes vrais sentiments. Mais en dedans de moi je brûle et je pense à ce que je pourrais faire pour me venger.

C’est grâce à mon fort mental que je n’ai pas été traumatisé par la guerre. C’est grâce à mon optimiste sur tout que je pense qu’il a encore de l’espoir quelque part. Mais c’est grâce à tout cela que je n’attaque que rarement physique mais plutôt mentalement. Je sais comment détruire le psychologique d’une personne. Je sais quel mot dire et où aller fouiller. C’est bien le seul temps où ma curiosité est bonne. C’est aussi pour cela que je n’attaque pas trop une personne sens vraiment savoir qui elle est. Tout cela pour dire que derrière l’angélique, il a une vraie combattante dure à toucher mentalement.

POUVOIRS

Ceux Pardusse :
- L’Ouïe : J’ai une ouïe très bien développer à cause de mon côté félin. J’entends les bruits de la nature très rapidement. Si une personne me suit, habituellement je vais entendu ses pas avant même de sentir sa présence.
- La vue : La nuit comme le jour, je vois très bien. Le jour, c’est comme les humains, mais la nuit, je réussis à voir plus loin qu’eux. Pas de beaucoup, simplement plus clair.

Magiques :
- Ceux de bases : Télépathie | Empathie | Sixième sens.
- Détections des mensonges : C’est pour cela que je vois souvent que le bon côté des choses. Je sais ce qui est faux et je sais ce qui est vraie. L’attaque mentale est aussi ma façon de réussir à détruire une personne à cause de cela. Je peux voir à travers elle ce qu’elle ressent réellement. Si elle fait semblant d’être fâcher ou au contraire de ne rien ressentir, je sais que c’est faux. J’arrive à toucher des points sensibles et de cette façon à trouver le joli bobo qui pourra la détruire.
Enfant: Je pouvais dire qu’une personne mentait sens trop comprendre comment je le savais. C’était bien cela le problème. Personne ne me croyait puisque je n’avais pas de preuve.
Adolescente : Je commence de mieux en mieux à comprendre les réactions des gens. La détection est plus facile. Je me pose plus tellement la question à savoir si c’est vrai ou non. Je sais quand une personne me ment. Je le sens en moi assez facilement. Je commence à faire quelques liens qui me valent être plus mentale que physique au niveau de mes attaques. Même si je n’arrive pas toujours à comprendre l’histoire autour du mensonge.
Adulte : Tu veux me mentir? Alors bonne chance. Je détecte le mensonge mieux que qui compte. J’ai appris aussi à ne pas le montrer que je sais la vérité. Je ne saute plus toujours sur l’occasion directe. Mais crois-moi, je sais. Je fais vite comprendre ce que c’est que la bonne réponse. Je n’ai même pas besoin de savoir lire les pensées pour toucher des points sensibles. J’aime prendre les gens dans leurs menteries. J’embarque dans leur petit jeu et fini par les prendre au détour. C’est devenu une chose tellement facile que c’est même amusant.

AMBITION

Celle que j’ai le plus, mais qui restera toujours secrète, est de faire en sorte que ma sœur est le même goût de vive que moi.  Je ne dis pas cela dans le sens qu’elle veut mourir. Je voudrais juste la voir sourire et qu’elle voit le monde un peu rose des fois et non tout noir.

Je n’ai pas de but très précis. C’est pour cela que j’arrive aussi à voir le monde aussi beau alors qu’il ne  les pas réellement. Je voudrais tant de sorte, certes, mais pas au point de négliger certaine chose. Je voudrais voir le monde aussi beau que je le vois tout comme je voudrais réussir à terminer mes années en tant qu’apprentie. Mais, celui qui me tient vraiment à cœur, c’est de rester moi-même le plus longtemps possible. Que personne ne réussissent à enlever mes penser. Mes valeurs. Si je devais changer, si je devais perdre mon sourire pour toujours, je voudrais qu’on me tue.

BIBLIOGRAPHIE

Je suis née Pardusse sur Irianeth. Ce côté-là est assez bien présent dans ma vie. Que ça soit sur le côté des valeurs ou dans mes faits et gestes. Celle qui se faisait le plus ressentir était la valeur familiale. Quand je suis née, j’avais déjà une grande sœur. Je ne la voyais pas. Elle était devenue apprentie depuis déjà quatre ans. Apprentie  Seccyeth je veux dire. Vous savez, ceux qui contrôlent les dragons. Il parait qu’elle a un don avec les dragons. J’aimerais tellement moi aussi avoir ce don. Mais pour l’instant, je suis simplement trop jeune.

Ma vie tout rose tout mignon a toujours été présente. Ce n’est pas nouveau que je vois tout ainsi. On ne sait pas trop pourquoi c’est ainsi dans ma tête. Certain aurait pu penser que je suis un peu folle. D’autres ont plutôt dit que j’avais été trop été gâtée et que ma mère m’avait élevé dans une boule de coton.  Et qu’ainsi je n’avais pas conscience de ce qui se passait autour de moi. Les autres disaient que j’étais une enfant un point c’est tout.  Je vécue avec mes parents durant les premières années de ma vie.  Je jouais comme tous enfant, je parlais s’en arrêt montrant une curiosité comme jamais. Mais surtout je disais quand une personne mentait. C’est dans mon enfance que j’avais commencé à développer se pouvoir.

Peu de temps avant la guerre, j’avais aussi développé le beau don des dragons. Je ne vais pas vous expliquez tout ce qui c’est passer. Mais en gros, je pus me démarquer des autres enfants de mon âge qui voulait à tout prix avoir un dragon. Je devais avoir environ 10 ans quand je deviens réellement apprentie. Je commençais mon entrainement avec un homme qui était mon maître.  Avec ma sœur, notre relation commençait réellement maintenant. J’apprenais à la connaître et vice versa. Malheureusement, c’est à peine deux ans plus tard après mon début de tout cet entrainement que je dus aller en guerre. Je n’étais pas réellement prête. Du moins, je ne me sentais pas tellement, mais j’avais confiance quand même. Logique? Bien sûr voyons!

La guerre a été très éprouvante. Je n’étais pas partie dans la même division que ma sœur et cela m’avait grandement attristée. J’avais quand même combattue du mieux que je le pouvais. Avec mon dragon Fiery je survolais les territoires. Ce n’est seulement quand les fées firent leur petit tour de passe-passe que tout se termina. Les dragons, notre armé, les fées finalement, bien trop de monde disparut d’un coup. Je ne comprenais pas mais une peur s’était quand même installer en moi. Je pensais à Khanrell. S’il devait lui avoir arrivé quelque chose je serais des plus tristes. Mais j’avais confiance en elle. C’était une grande guerrière.

Après la guerre c’était loin d’être motivant. Mais ma sœur pris en charge les personnes qui restaient. Nous étions seulement quatre Seccyeth. Ce qui n’était pas beaucoup. Ma grande sœur possède la seule femelle. On doit attendre après les œufs de celle-ci pour avoir d’autre dragon et les donner aux plus méritants. Je deviens donc son apprentie. J’avais perdu mon maître dans la guerre. Étrangement, je n’étais pas aussi traumatiser qu’on l’aurait pensé. Avec ma belle vision rose du monde, bien des gens auraient pensé que je finirais par virer folle en voyant que c’était bien le contraire. C’est donc moi qui s’amuse à faire voir le bon côté des choses aux gens mais surtout à Khanrell. Elle doit être optimiste pour réussir à gérer l’ordre des Seccyeth. Même si ce n’est pas facile. J’ai grandement confiance en elle et elle le sait. Enfin, j’espère.

Je vis maintenant à Argent. C’est là notre colonie. Ma sœur qui est aussi mon maître ne faut pas l’oublier, à un grand rôle important donc nous ne sommes pas souvent à Argent. On se promène partout avec nos jolis dragons pour protéger les autres personnes qui ne sont pas capable de le faire par eux-mêmes.