Obéis! Chose servant à mon petit plaisir personnel! (P.V. Damrisha)

Prince(sse) de Diamant Date d'inscription : 18/02/2014

-MA POUPÉE! JE VEUX DAMRISHA IMMÉDIATEMENT EMMENEZ-LA MOI!

Les serviteurs, qui se tenaient tous fort loin de la gamin en pleine crise, tentaient de lui faire comprendre qu’avec la grosse pneumonie qu’elle avait développé il valait mieux qu’elle dorme et que crier ne l’aiderait certainement pas à guérir, mais la cinglée désirait jouer à prendre le thé avec son jouet grandeur nature, laquelle était une véritable personne mais ça, Halysselle ne s’en était pas encore rendue compte. Elle pensait que c’était grâce à ses pouvoirs de voir les vraies choses dans leur état réel et son pouvoir de visualiser le monde invisible qui lui permettait d’entendre et de se faire comprendre par son esclave. De toute façon lorsqu’elle était en sa compagnie, tout le monde ignorait l’esclave d’Halysselle puisque c’était «son jouet», alors comme ils ne lui parlaient pas en sa présence, la princesse n’était que d’avantage persuadée qu’elle était la seule à pouvoir la voir telle qu’elle était : une poupée vivante.

- J’AI DIS JE VEUX MA POUPÉE PRÉFÉRÉE!! AMENEZ-MOI DAMRISHA SINON J’APPELLE MON PAPA ET IL VA TOUS VOUS VIRER!

Les yeux rouges, les cheveux collés sur sa tête, la morve au nez et victime d’une faiblesse telle qu’elle n’était pas capable de sortir de son lit, Halysselle continuait pourtant à prétendre qu’elle voulait jouer et nier le fait qu’elle était trop faible pour faire quoi que ce soit. Elle se rendrait en rampant jusqu’à sa table de thé s’il le fallait, ou alors son jouet préféré lui prêterait généreusement son épaule en voyant dans l’état dans lequel elle se trouvait, car elle faisait toujours ses quatre volontés. La princesse voyait ça comme de la gratitude, elle remerciait bien entendu cette petite déesse avec qui elle pouvait être elle-même alors que les autres la voyaient comme un objet inanimé. Pauvre petite Damrisha, ce qu’elle devait se sentir seule…

Craignant que la petite mette ses menaces à exécution, un serviteur partit à la recherche de l’esclave qui avait à peine eut le temps d’arriver de sa missions dans l’ouest, elle était encore toute sale de l’expédition. Il la força à se rendre immédiatement au chevet de la gamine.

Pendant ce temps dans la chambre de la princesse on essayait de la convaincre de ne pas se tenir trop proche de Damrisha et de ne pas passer trop de temps avec elle car elle pourrait la contaminer avec sa pneumonie. Qu’est-ce qu’ils étaient cons ses serviteurs!!! Une catin ne peut pas tomber malade, voyons, si sa grande poupée parlait et bougeait, c’était uniquement grâce aux grands talents de la gamine de manipuler les arcanes, elle ne pourrait pas tomber malade! Les serviteurs sortirent après que la pseudo adolescente leur eut promis de faire attention même si elle savait qu’un jouet ne pouvait pas attraper une pneumonie, et l’esclave fut propulsée dans la salle comme un objet inutile. Encore une fois, personne n’avait semblé s’intéresser plus que ça à Damrisha, sauf à propos du fait qu’elle tombe malade, alors le cerveau ralentit d’Halysselle lui faisait encore croire qu’elle était la seule à la voir comme une personne humaine.

- Je veux jouer maintenant Dammy’, emmène-moi à la table, comme les nobles font quand je dois me présenter telle la princesse que je suis, en grande dame. Et puis mets donc une robe, pourquoi as-tu des vêtements tout sales? Où on-t-il bien pu te ranger pendant tout ce temps que je faisais dodo dis donc? Je vais leur dire de ne plus te placer avec les vieux jouets que je n’utilise plus car tu me reviens toute poussiéreuse c’est dégoutant… Alors qu’est-ce que tu attends? Bouge! Habille, porte moi, prépare le thé? Est-ce trop compliqué? Après tout, elle n’était qu’un objet, Halysselle n’était pas certaine que Damrisha possède le don d’intelligence, il allait falloir qu’elle trouve un sortilège pour la munir du don de réfléchir par elle-même parce qu’il fallait tout le temps qu’elle lui dise quoi faire. Prend celle-là ! déclara-t-elle en pointant dans son garde-robe personnelle une horrible robe bouffante à crinolines, digne d’une enfant. Halysselle étant beaucoup plus petites que les fillettes de son âge, elle avait des vêtements de taille enfant. En plus, celle-là elle la possédait depuis longtemps elle ne lui faisait plus à elle-même. Mais Damrisha était plus mince que la princesse alors elle rentrait dedans même si la jupe était trop courte et que le col l’étranglait presque.

D'Ailleurs, la petite princesse était aussi en robe de nuit, parce qu'elle avait dormit toute la journée, assommée par sa maladie. Il fallait qu'elle se choisisse une tenue mais elle ne se sentait pas la force de se vêtir toute seule. Pas du tout gênée devant une simple poupée, elle pensa donc qu'elle pourrait l'assister plutôt que de rappeler les servantes connes qui l'aidait en général.

-Après prend la bleue avec les paillettes et habille-moi.

Damrisha manqua de s'étaler de tout son long quand le garde la poussa dans la chambre d'Halysselle. La jeune fille aurait bien aimé qu'on lui laisse au moins le temps de se changer, elle était encore couverte de poussière suite à son retour en charrette. Est-ce qu'un jour ces imbéciles d'Irianeth commenceront à réfléchir au lieu de tout faire sur un coup de tête ?

- Je veux jouer maintenant Dammy’, emmène-moi à la table, comme les nobles font quand je dois me présenter telle la princesse que je suis, en grande dame. Et puis mets donc une robe, pourquoi as-tu des vêtements tout sales? Où on-t-il bien pu te ranger pendant tout ce temps que je faisais dodo dis donc? Je vais leur dire de ne plus te placer avec les vieux jouets que je n’utilise plus car tu me reviens toute poussiéreuse c’est dégoutant… Alors qu’est-ce que tu attends? Bouge! Habille, porte moi, prépare le thé? Est-ce trop compliqué?

Damrisha observa avec attention la petite princesse. Elle qui d'habitude ressemblait aux plus belles poupées de porcelaine avait maintenant le même air que tous les grands malades... Elle était affreuse. Ses yeux vitreux et injectés de sang n'étaient plus que deux points qui ressortaient à peine de son visage bouffi et rouge. Ses cheveux qui en temps normal ondulaient soigneusement n'étaient plus qu'une masse informe collée par la sueur. Halysselle du haut de son lit la fixait avec un mélange de colère, de frustration, et d'indécision... Damrisha s'était habituée aux caprices de la petite peste, mais elle ne supportait toujours pas sa folie. Folie qui lui faisait croire que Damrisha n'était qu'une poupée. Avec le temps, la jeune fille avait réussi à trouver qu'elle place elle était censé occuper dans cet univers dément... Mais jouer le rôle de l'adoratrice sans cervelle n'était pas des plus facile.

- Prend celle-là !

Damrisha regarda la robe que lui désignait Halysselle et reteint avec peine une grimace. La princesse adorait lui faire porter ses robes, mais c'est tout juste si elle pouvait les enfiler. La plupart du temps, elle devait d'abord porter un corset pour y parvenir, mais la gamine ne s'en rendait visiblement pas compte. Damrisha ôta ses vêtements poussiéreux puis les plia avant de les laisser au sol. Elle prit un corset sur une étagère, l'enfila, serra, se comprima presque au point de se couper la respiration. Elle n'avait jamais été une grande adepte des robes de dames et préférait de loin des vêtements de cavalières - beaucoup plus pratiques pour bouger librement. Depuis qu'elle était devenu une "poupée", on peut dire qu'elle les haïssait. En particulier les modèles comme celui qu'elle devait porter aujourd'hui. Le rose lui donnait l'air d'un bonbon. Les plis et replis et surplis combinés aux crinolines la faisait ressembler à une meringue et la gênait quand elle devait s'assoir. Le col lui remontait sur une partie du cou et l'étranglait à moitié. Mais le pire, c'était probablement la longueur de la robe. Elle lui arrivait juste au dessus des genoux, mais avec les crinolines, chaque mouvement faisait remonter la robe et dévoilait encore plus ses jambes.

-Après prend la bleue avec les paillettes et habille-moi.

La jeune fille prit la robe en question, puis la posa sur le bord du lit. Elle tira les draps qui couvraient encore Halysselle, puis posa un genoux sur le lit pour avoir un appuie avant de prendre la princesse dans ses bras. Avec une telle position, sa robe laissa une vue plongeante sur son popotin et Damrisha ne douta pas un instant que le garde n'en manquait pas une miette. Mais la princesse n'avait visiblement aucune envie de lui faciliter la tache et ne bougeait pas d'un pouce. Elle n'avait pas le choix. La jeune fille fit assoir un instant Halysselle sur le bord du lit avant de la mettre debout pour pouvoir la changer. Alors qu'elle lui retirait sa chemise de nuit - trempée et imbibée de l'odeur de sueur - elle lui raconta sa journée.

_ Je suis vraiment désolée d'être aussi négligée aujourd'hui, mais on m'a amenée dans une infirmerie pour soutenir des blessés. Votre père a envoyé des expéditions pour... "dompter" la forêt des elfes. Toutefois, les choses ne se passent pas comme prévu. La nature est vivante. Les feuilles sont aiguisées comme des lames, les branches et les racines deviennent des pièges. J'ai vu aussi des épines faire autant de dégâts que des flèches dentelés. Si on m'y avait amené avec une tenue de dame, je l'aurai probablement souillée...

Tout en parlant, Damrisha continua de s'occuper de la princesse. Elle prit une bassine d'eau laissée par une servante et y trempa une serviette laissée là elle aussi. Elle nettoya avec soin le corps trempé de sueur avant d'utiliser une serviette propre pour l'essuyer. Elle pu alors l'habiller. Ici, nul besoin de corset pour enfiler la robe. De toute façon avec sa silhouette de planche à pain, elle n'en aurait probablement jamais besoin. Quand ce fut fini, Damrisha prit Halysselle dans ses bras pour la porter jusqu'à une petite chaise placée devant une coiffeuse aux tons bleus et verts dont le miroir était surmonté d'un gros noeud fuchsia. La jeune fille attrapa un peigne large pour démêler la coiffure en bataille de sa maitresse.

_ Quelle coiffure désirez-vous aujourd'hui ?

Prince(sse) de Diamant Date d'inscription : 18/02/2014

Halysselle avait très chaud mais frissonnait en même temps, comme si sa sueur la refroidissait trop pour ce qu’elle avait de besoin. Elle ne s’était pas encore vu l’air et c’était pour ça qu’elle ne voulait pas croire qu’elle était vraiment malade et dangereusement contagieuse, elle se disait que ça allait passer, que c’était plutôt les cuisines qui réchauffaient trop la château (bien qu’elles se trouvaient à l’opposé de ses appartements princiers) et elle demanderait à son père de punir les servantes qui lui mentaient.

Damrisha la fixait avec son regard insondable de poupée qui n’éprouve rien, car tout le monde le sait, les jouets n’ont pas d’émotions ou de sensations. Justement la Princesse de Diamant travaillait là-dessus avec sa «Grandeur Nature» pour lui apprendre à se sentir comme un humain. Elle s’imaginait être capable de la transformer en vrai personne et alors elle pourrait être sa meilleure amie et montrer à tous que finalement, elle est bel et bien une puissante immortelle-déesse-de-la-magie-des-licornes-de-la-vie. Bien sûr elle ignorait que l’Enkiev était plutôt en train de se dire que la gamine était totalement cinglée…

Lorsque sa poupée vit quelle robe elle devait porter, la petite malade eut l’impression de voir son visage s’illuminer d’un bonheur non calculable. Cette joie intense dans le regard de l’esclave combla le cœur fatigué par la maladie de la petite princesse, convaincue que Damrisha était heureuse de porter une robe qui lui donnait l’air d’une escorte plus que d’une poupée. Halysselle pouvait alors ignorer la saleté dégoutante qui couvrait son jouet préféré puisque celle-ci revêtait une robe délicate et parfaitement ajustée… Mouais…

- Queeeee tu es belllleeeee Dammyyyyy!!! cria l’enfant avec une voix suraiguë qui était rendue irritante par sa gorge abimée par sa pneumonie. Tourne tourne tourne! Pivote! Montre-moi de tous les côtés! Rooooh je SAVAIS qu’elle t’irait aussi bien, mieux qu’à moi, j’adore quand j’ai l’œil comme ça pour habiller mes jouets, tu sais, je pense que je pourrais devenir designer pour les plus grands Dirigeants de ce monde, quand je serai moi-même Dirigeante de Diamant. Ça te va comme un gant, je ne veux plus que tu l’enlève, cette robe, tu vas garder ça toute la journée. Tout à l’heure on ira faire une balade à cheval pour que tout le village voie comme j’habille bien mes poupées. Les servantes disent que je ne devrais pas sortir mais je me sens suuuuuuper en forme moi, alors on ne va pas les écouter, de toutes façons elles sont connes toutes autant qu’elles le sont et moi je suis la seule à comprendre la vraie vérité dans tout ça. Sa voix faible et grinçante démentait ses paroles, mais elle ne s’en rendait pas compte. Quand je te transformerai en vraie personne, les hommes tomberont à tes pieds, parce que tu seras la plus belle humaine qui existera après moi car je t’aurai créée, alors en attendant je vais te montrer à tout le monde belle comme tu es pour leur donner envie. N’oublie jamais par contre que tu es à moi, moi seule, mon jouet, qui t’a donné la vie, hein, quand tu l’auras, tu resteras toujours avec moi…

Toute molle, Halysselle se laissa prendre par Damrisha qui s’exhibait ridiculement devant un Soldat, mais celui-ci ne pouvait pas remarquer quoi que ce soit puisqu’après tout, Dammy n’était qu’une poupée pour l’instant, alors il ne voyait probablement rien de ce qui se passait. Toutefois, lorsque son esclave fit mine de lui retirer sa chemise toute trempée de la maladie, la princesse s’offusqua, pas contre son jouet qui ne faisait que lui obéir, mais contre le soldat qui risquait de la voir nue, elle la précieuse princesse de Diamant.

-Mais à QUOI penses-tu, sal ingrat de petit garde de sécurité de pacotille! Tu n’y penses pas non! Je REFUSE d’avoir un homme qui reste dans ma chambre pendant que je joue à prendre le thé, tu n’y comprendrais rien de toute façon et tu es trop ignoble et idiot pour mériter d’assister aux VRAIES choses! D’ailleurs, tu ne me verras pas me changer, OH NON! Espèce de pervers, je ne suis qu’une enfant… VA-T’EN! OUSTE!

Encore plus tremblante à cause de sa fièvre, Halysselle empira son cas en se mettant en colère, mais comme elle avait toujours un sale caractère, le soldat n’en fit pas de scène et sortit sans demander son reste, bien trop content d’être débarrassé de cette tâche que personne ne voulait, mais un peu déçu de ne plus pouvoir regarder l’esclave, car contrairement à ce que pensait la reptilienne, son humaine de service existait vraiment et attirait bien les regards…

En lui enfilant sa belle robe bleue, Damrisha lui raconta comment elle s’était retrouvée à être aussi sale. Apparemment les soldats de son pères s’étaient servis d’elle à des buts qui étaient inconnus à la petite blonde lors de son sommeil. À quelle fins pouvait-on avoir besoin d’un jouet dans une infirmerie? Cette forêt capricieuse et rebelle aurait pu briser sa précieuse poupée grandeur nature! Qui était l’inconscient qui avait commandé cet ordre ridicule?

- T’en fais pas Dammy, je ne laisserai plus personne t’emprunter pendant que je dors, tu es ma possession et je n’accepte pas que quelqu’un d’autre se serve de toi! Je vais le dire à papa et il punira les insolents qui ont osé t’emmener à l’infirmerie pour des sombres et inconnus buts. Je me demande… peut-être que la magie que j’incorpore en toi pour te rendre réelle, à ton insu chaque jour, t’a donné le pouvoir de réconforter les blessés? Après tout je crois être assez puissante pour cela, ça se tient je pense. D’ailleurs depuis que tu es revenue je me sens TELLEMENT BIEN! sa voix s’était justement cassé lorsqu’elle avait essayé de crier, contredisant ses efforts pour faire croire qu’elle n’était pas malade. Alors c’est peut-être ce qu’ils ont réalisés et ils ont pensé que tu pouvais guérir les gens, mais c’est moi la source de magie, pas toi, je vais éclaircir ça avec eux, merci de m’avoir informée, ne t’inquiète pas ça ne se reproduira pas!

Halyselle était maintenant belle, propre et bien vêtue. Damrisha la porta jusqu’à la coiffeuse au lieu de la table de thé comme l’avait exigé sa maîtresse, mais celle-ci comprit aussitôt pourquoi : ça tête faisait peur à voir! Toujours en refusant d’admettre qu’elle était vraiment tombée malade, elle s’exclama contre ses servantes…

- Qu’est-ce qu’elles m’ont fait pendant ma nuit de sommeil! Elles ont abimée ma royale chevelure divine! N’importe quoi Dammy, mais quelque chose d’acceptable, s’il-te-plait! Je dois te faire peur comme ça, enfin, si les poupées éprouvent la peur, ce dont je doute… Un jour peut-être. En tout cas, quand je vais trouver celle qui m’a fait ça dans la nuit, elle passera au GIBET, c’est CERTAIN! On ne décoiffe pas une princesse comme cela, elle doit être belle à tous les moments de la journée… C’est de la cruauté pure et simple. Remonte les un peu plus, j’aimerais bien cette attache-là, elle va me faire briller… Ensuite, prépare le thé, j’ai un peu soif. Elle était irritée comme du papier sablé Et puis on va placer la table, invitons Roger et Darius à boire avec nous, je pense qu’ils sont dans le coffre à côté de la porte mais je ne suis plus certaine, après tous mes diaboliques servantes passent leurs temps libres à déplacer mes choses bien organisées en un fouillis machiavélique. Et dire que c’est supposer s’occuper de moi! Elles me nuisent plutôt… Toi tu es serviable, c’est pour ça que je vais te récompenser en te donnant la vie. Enfin, si tu restes gentille comme ça pour toujours, jusqu’à la fin des temps… Tu me le jure dis? OOOOH JE SAIS! Agenouille-toi maintenant et jure moi fidélité jusqu’à ta destruction physique, que tu ne partiras jamais de ce château! Oui!

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